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Téléchargez gratuitement cette matrice PESTEL de l'entreprise VISA. Vous y trouverez une analyse complète et précise de cette grande entreprise.
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Plan du document :
I. Analyse politique
II. Analyse économique
III. Analyse socio-culturelle
IV. Analyse Technologique
V. Analyse environnementale
VI. Analyse législtative
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Visa n'émet pas de cartes, n'accorde pas de crédit et ne fixe pas de taux et de frais pour les consommateurs. En fait, Visa fournit aux institutions financières des produits de paiement de marque Visa qu'elles utilisent ensuite pour offrir des programmes de crédit, de débit, prépayés et d'accès en espèces à leurs clients. VISA a donc pour client les établissements bancaires qui, eux, sont intimement liés à l’environnement politique des pays où ils s’implantent.
Aussi les établissements bancaires et Visa doivent tenir compte :
De la stabilité politique du pays en question et de l’importance du secteur des services de crédit dans l'économie du pays, du niveau de corruption, en particulier les niveaux de réglementation dans le secteur financier, de la bureaucratie et interférence dans l'industrie des services de crédit par le gouvernement, du cadre juridique pour l'exécution des contrats, de la réglementations commerciales et tarifs liés à la finance...
Le gouvernement anglais, en 2017, a décidé d’interdire aux entreprises, et ce dès 2018, de facturer tout frais de traitement relatifs aux paiements par carte de crédit ou de débit. Cela peut-il avoir une incidence directe pour les entreprises qui fournissent des cartes bancaires aux banques ? Si l’entreprise perd de l’argent, elle se retournera vers sa banque pour diminuer ses frais occasionnés par le paiement par carte, ce qui obligera l’établissement bancaire à vouloir renégocier ses prix avec une entreprise comme VISA ou MasterCard pour ne citer que les plus célèbres afin de compenser ces pertes... Cet exemple a le mérite de mettre en exergue la longue chaîne d’interférence qui existe entre le consommateur, le vendeur, l’établissement bancaire et la carte bancaire
Une chose est certaine : plus le régime politique d’un pays est permissif, plus le commerce se développe, plus la population peut acheter, dépenser, voyager et donc utiliser une carte de crédit.
Il faut noter que Visa, tout comme Mastercard, n’a pu implanter ses réseaux en Chine qu’en 2016 !
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La carte bancaire est devenue le nouveau porte-monnaie des populations vivant dans les pays industrialisés et le devient progressivement dans les pays émergents. Elle a changé le quotidien de milliards de gens. Par exemple, en France, en 2016, une étude a montré que 79% des Français l’utilisait au minimum une fois par semaine. Elle a presque rendu le système de paiement par chèque obsolète. Même le paiement en espèce a largement reculé... Et comme il faut utiliser sa carte de crédit pour sortir de l’espèce...
La carte Visa est utilisable dans le monde entier ou presque. Et les hommes voyagent de plus en plus, dépensent de plus en plus à l’étranger. Ici aussi, la carte bancaire a changé les habitudes. Avec une simple carte, on peut tout financer pendant son séjour.
Mais avoir une carte Visa impose d’avoir un compte bancaire, un certain niveau de ressources et ce n’est pas encore le cas pour tous.
Pour se rapprocher de ses consommateurs potentiels et améliorer son image de marque, Visa est le sponsor de différents évènements sportifs dont les Jeux Olympiques et la coupe du monde de football.
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Une carte bancaire est faite de PVC, de métaux et autres additifs chimiques. S’il existe des actions de la part des établissements bancaires en faveur de l’environnement pour créer des cartes bancaires totalement recyclables, pas de communication de Visa sur les technologies vertes que l’entreprise pourraient utiliser à travers, par exemple, ses centres de traitements de transaction qui doivent être gourmands en énergie...
Les législations environnementales réclament de plus en plus de transparence et de rigueur pour les entreprises. Visa est-elle une entreprise verte ? Est-elle en train de le devenir ? Ces questions n’ont pour l’instant pas de réponse...
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