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Dans le cadre de ma formation Techniques de Commercialisation à l’I.U.T. de Montluçon, j’ai eu à réaliser un stage en entreprise divisé en deux parties, une première partie du 31 mai au 12 juin 2010, et une deuxième du 1 septembre au 22 octobre 2010.Â
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Mes recherches m’ont conduit à effectuer ce stage à l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) sur le site de Clermont-Theix, sous l’encadrement de Madame Sabrina Gasser, chargée de communication du département Alimentation Humaine.Â
Les buts du rapport sont de présenter les missions qui m’ont été données, d’en expliquer la réalisation, et d’en retirer une analyse.Â
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Le rapport se compose de trois grandes étapes. La première est la présentation de l’entreprise, son historique, sa situation actuelle, son organigramme.Â
La deuxième porte sur le sujet du stage, et les missions qui en découlent. Cela prend en compte la présentation des objectifs et des moyens mis en œuvre, et par la suite le résumé de leur réalisation, avec notamment les obstacles et les techniques mises en œuvre pour assurer la bonne marche du travail.
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En découlera pour finir une analyse des résultats, suivie d’un bilan personnel et professionnel prenant en compte les apports personnels, les apports à l’entreprise.Â
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Créée il y a 64 ans, l’Institut National de la Recherche Agronomique est devenu par la suite le premier institut de la recherche agronomique en Europe et le deuxième mondial en matière de publications notamment sur ses travaux sur la thématique agricole. Les recherches de l’Institut sont concentrées autour de trois axes : Agriculture – Nutrition – Environnement.Â
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Quel est l’objet de la communication ?
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L’objet était donc l’Etude Nutrinet Santé, présentée précédemment. Pour préciser l’objet, la communication avait pour but de promouvoir l’étude en l’identifiant à la recherche publique française.Â
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Pourquoi ?Â
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La communication était ici axée sur l’offre et non l’organisme. En effet, cette action de communication relevait de la vulgarisation scientifique auprès de particuliers, pour leur faire connaitre l’étude Nutrinet Santé, et non l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Rechercher Médicale). Cette communication portait sur « les performances » de l’étude, c'est-à -dire : la mobilisation massive déjà observée durant l’année écoulée, la facilité de participation (inscription sur internet, gratuité) mais aussi le suivi régulier des inscrits. Â
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Les trois objectifs de cette action étaient dont cognitif, affectif et conatif.Â
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Cognitif : « faire connaître l’annonceur »
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Dans mon cas l’Etude Nutrinet Santé et le site « www.etude-nutrinet-sante » qui lui était associée.Â
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Affectif : « image de l’annonceur, faire aimer ».Â
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Ici l’image qu’il fallait diffuser était la possibilité pour tous de s’impliquer dans la rechercher publique française, et de façon populaire et accessible au plus grand nombre. Dans le cas de l’étude, on ne pouvait pas amener les personnes à « aimer » l’objet de la communication, mais on pouvait susciter l’intérêt et la sympathie pour un tel projet.Â
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Conatif : « faire agir ».Â
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En suscitant l’intérêt de la cible pour l’étude, on allait pouvoir l’amener à s’y intéresser plus amplement, et à se sentir concernée par l’enjeu qu’elle représente. Le but étant d’inciter les français à rejoindre l’étude en s’inscrivant sur le site et en répondant aux questionnaires.Â
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 Pour qui ?
Les publics de la communication
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Ce sont des entreprises qui ont déjà contribuées à la communication, de prés ou de loin, sur l’étude Nutrinet Santé. Concrètement, ces entreprises ont coopéré pour diffuser des affiches, des tracts dans leurs locaux.
Cela est passé aussi par la diffusion de spots vidéo sur l’étude. Elles peuvent également avoir parlé de l’étude sur leur site Internet, ou par le biais de leur intranet.Â
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On retrouve les prescripteurs dans les entreprises mais aussi de façon plus « libérale ». Le plus souvent ce sont les médecins, que ce soit du travail (dans les entreprises partenaires) ou généralistes.
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Ce sont des prescripteurs puisque le discours et l’image qu’ils peuvent avoir sur l’étude peuvent inciter les personnes qui les entourent à se mobiliser.Â
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Ce sont les entreprises qui ont fait l’objet du démarchage visant à les amener à coopérer pour une mobilisation autour de l’étude.
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Ce sont toutes les personnes majeures de France métropolitaine susceptibles de rejoindre l’étude Nutrinet Santé. Dans mon cas, les futurs mobilisés visés étaient les employés des entreprises partenaires potentielles.
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Le cÅ“ur de cible était les employés de très grandes entreprises françaises. Aucune distinction n’a été faite selon leur domaine d’activité, les entreprises démarchées ne devant répondre à aucun critère particulier hormis celui cité précédemment qu’était celui de l’effectif.Â
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Pour réussir à toucher ces publics, il a donc fallu passer par une phase de démarchage pour obtenir l’accord de coopération d’entreprises déjà partenaires de l’étude et l’accord de nouvelles entreprises. Le choix des nouvelles entreprises s’est donc porté vers des grandes entreprises françaises.Â
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