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La conception d'un système d'information n'est pas évidente car il faut réfléchir à l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place.
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En effet, la conception du système d'information se fait par étapes, afin d'aboutir à un système d'information fonctionnel reflétant une réalité physique. Il s'agit donc de valider une à une chacune des étapes en prenant en compte les résultats de la phase précédente.
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D'autre part, les données étant séparées des traitements, il faut vérifier la concordance entre données et traitements afin de vérifier que toutes les données nécessaires aux traitements sont présentes et qu'il n'y a pas de données superflues.
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La phase de conception nécessite l’emploi dune méthodologie permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer.
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La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s'intéresse.
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Concevoir en utilisant ce type de méthode c’est analyser. Il existe plusieurs méthodes d'analyse mais la méthode la plus utilisée en France reste la méthode MERISE.
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Développée par Y. Tabourier (1997), cette méthode est basée sur 3 découpages et 4 niveaux de description. Méga se porte ultérieurement vers UML : UML n'est pas une méthode c’est à dire une description normative des étapes de la modélisation.
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Cette méthode est basée sur 3 découpages et 3 niveaux de description. Axial dans ces différents modèles met l'accent sur le rapprochement des données et des traitements.
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MERISE est une méthode de conception, de développement et de réalisation de projets informatiques. Le but de cette méthode est d'arriver à concevoir un système d'information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques.
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Plusieurs concepts liés à la modélisation conceptuelle de communication sont utiles et sont définis ci-après :
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Le modèle conceptuel de flux permet de représenter les flux échangés entre les domaines d’activités d’une entreprise ou entre les activités d’un domaine d’étude. Plusieurs modèles de contexte peuvent être réalisés en fonction de la complexité du problème rencontré. Cette complexité est fonction du nombre de services à étudier, de l’effectif rencontré, etc.
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Dans la démarche d’élaboration des MCF, if faut représenter un premier modèle conceptuel de flux où le champ d’étude n’est pas détaillé et où la seule préoccupation est de représenter les flux échangés avec l’extérieur. Ce premier modèle est appelé modèle de contexte ou diagramme de contexte.
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Le modèle de contexte permet de représenter les flux échangés entre l’entreprise et son environnement. Le concepteur peut aussi donner une première représentation des flux internes échangés entre les domaines de l’entreprise.
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Le modèle détaillé a pour but de représenter les flux échangés entre les activités détaillées au niveau le plus fin selon l’intérêt du concepteur. En général, le niveau de détail recherché correspond à celui d’une opération élémentaire (voir MCD).
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Pour accomplir ses missions, un acteur interne dispose de ressources matérielles et éventuellement de ressources logicielles. La description d’un acteur comporte au minimum : l'énoncé de ses missions, son positionnement dans l'organigramme de l'entité à laquelle il appartient, sa localisation géographique, l'identification des ressources matérielles et logicielles dont il dispose. Les acteurs sont de trois types :
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Le formalisme utilisé au niveau conceptuel est repris au niveau organisationnel. La chronologie des flux est indiquée en les numérotant.
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Par analogie avec le MCF, le modèle organisationnel des flux appelé encore Diagramme de flux (ou DFD : Data Flow Diagramm) représente les flux échangés entre les acteurs du domaine d'étude d'une part, et entre les acteurs du domaine d'étude et les partenaires extérieurs ou domaine extérieur au domaine d'étude d'autre part.
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Une matrice des flux constitue une autre manière de représenter les flux entre acteurs. Elle fait apparaître l’ensemble des flux émis par un acteur (ligne de la matrice) ainsi que l’ensemble des flux reçus par un acteur (colonne de matrice).
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Très chouette document, merci beaucoup de l'avoir partagé !
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